Paradis de chasse à faire rêver

Les destinations préférées de notre équipe

Initié comme adepte, vous rêvez surement déjà à votre prochaine aventure de chasse! Pour en faire une réalité, vous devez bien vous préparer et tenter de mettre la main sur votre séjour dès que possible. Notre équipe vous dévoile ses coups de cœur dans le réseau afin de vous inspirer et de vous aider à choisir votre prochaine destination. Découvrez les offres qui font briller les yeux de nos passionnés! 

Sépaq Anticosti Sépaq Anticosti
Sépaq Anticosti Mikaël Rondeau | © Sépaq

Récolter son premier orignal à Matane

On est dans l’Est, au paradis du roi des forêts. La concentration d’orignaux vivant dans la réserve faunique de Matane est l’une des plus élevées au Québec. En 2021, on dénombrait environ 32 bêtes par 10 km2. Une vraie mine d’or! C’est aussi un endroit gravé dans la mémoire d’Ariane Laurin, passionnée de chasse et conseillère marketing à la Sépaq. Pourquoi? Parce qu’elle y a récolté son premier original à vie!

C’était en fin de journée, après un avant-midi de tempête. Son copain, Charles, et elle traquaient le gibier depuis quelques jours. Lorsqu’ils ont aperçu une femelle, tout laissait croire qu’un mâle se trouvait à proximité. « J’étais bien placée pour pouvoir tirer et Charles s’occupait d’appeler le mâle pour l’amener dans ma ligne de mire. Après un petit moment, il m’a fait des signes de panache pour me dire que le mâle s’approchait! Je suis restée en position, fébrile », raconte Ariane.

Elle savait que les prochaines secondes étaient cruciales. « Je ne tirerai jamais sur une bête si je ne suis pas certaine d’atteindre une zone vitale. Ça y était, l’orignal, un mâle massif, était parfaitement aligné. Tout s’est mis à tourner autour de moi, j’ai eu la buck fever. J’avais l’impression que mon cœur allait exploser, que tout bougeait trop vite dans ma mire. Ça a duré une minute, mais ça m’a paru une éternité », se remémore-t-elle.

Après avoir retrouvé son sang-froid, la chasseuse a appuyé sur la gâchette et tendu l’oreille. Le cri de l’orignal atteint s’est vite fait entendre : ça avait marché! « En sortant du bois quelques heures plus tard, les nuages avaient disparu. Remplis d’émotions et de fierté, on a levé les yeux au ciel et, dans cet instant magique, la Voie lactée et des milliers d’étoiles illuminaient la nuit », décrit Ariane. Un moment de connexion à la nature dont le couple se souviendra longtemps.

Réserve faunique de Matane
Réserve faunique de Matane © Sépaq
Réserve faunique de Matane
Réserve faunique de Matane Yan Kaczynski | © Sépaq

Chasser au bord de la mer à Anticosti

L’île d’Anticosti est un joyau de la chasse au chevreuil. Pour la traque, de la fin août à la mi-décembre, les cerfs de Virginie sont partout sur ce territoire exceptionnel, un habitat de choix pour les bêtes. On y compte environ 21 cerfs/km2. Anticosti est aussi l’un des seuls endroits où chaque chasseur peut repartir avec deux chevreuils (mâle, femelle ou faon) et le seul site d’Amérique du Nord où l’on peut chasser au bord de la mer.

On demande souvent à Jean-François Bernard, délégué commercial pour Anticosti, d’identifier le meilleur secteur de chasse sur l’île. « L’île, c’est le meilleur secteur de toute l’Amérique du Nord. Tu es déjà à la bonne place », répond-il chaque fois.

Toutefois, ne vous méprenez pas : même si le taux de succès y est élevé, il faut un certain niveau de préparation. C’est que chasser à Anticosti est bien différent de la chasse sur le continent. On y pratique la chasse fine, c’est-à-dire qu’on va à la rencontre du chevreuil là où il est : marécages, terres humides, forêts denses et bords de mer.

Selon Jean-François, des connaissances du territoire et des caractéristiques de l’île sont indispensables. Il recommande d’ailleurs les forfaits avec guide. « Le plan américain avec repas et guide, c’est vraiment le trip d’une vie! s’exclame l’expert. Notre équipe s’occupe de tout et, toi, tu te concentres sur ta chasse. »

À l’inverse, le plan européen sans guide avec hébergement en camp rustique saura combler les plus téméraires, ceux et celles qui possèdent une insatiable soif d’aventure. En plus d’être abordable, ce forfait offre une expérience en autonomie unique en son genre.

Peu importe le type de séjour choisi, il y aura toujours un petit quelque chose de fantastique à vivre à Sépaq Anticosti. Jean-François se rappelle notamment la journée de novembre où il a récolté son premier buck. C’est dans le secteur McDonald que la magie a opéré. « Ce qui est étonnant, c’est qu’on a vu le chevreuil, un beau huit pointes, sur le bord de la route Transanticostienne. Je m’en souviendrai toujours, c’était la veille de ma fête et j’étais vraiment un homme heureux! » raconte-t-il.

Sépaq Anticosti
Sépaq Anticosti Mikaël Rondeau | © Sépaq
Sépaq Anticosti
Sépaq Anticosti Charles Boutin | © Sépaq

S’imprégner des traditions à Ashuapmushuan

Quand on pense à un lieu mythique parmi les réserves fauniques de la Sépaq, Ashuapmushuan nous vient immédiatement en tête. Ce vaste territoire de 4 487 km2 possède une richesse historique distinctive. En effet, cette région du Saguenay–Lac-Saint-Jean a été pendant plusieurs années, voire des siècles, un carrefour social et économique d’envergure. On songe bien sûr à la traite des fourrures, mais également à son passé imprégné de la culture et des traditions autochtones.

Cette culture, on la vit encore aujourd’hui grâce aux membres du personnel rencontrés dans la réserve faunique. Plusieurs sont issus de la communauté des Pekuakamiulnuatsh, mais tous et toutes ont une chose à cœur : transmettre leurs connaissances avec bienveillance et générosité, des connaissances qui incluent d’ailleurs de nombreux faits inusités.

Aux yeux de Mireille Mailhot, responsable des services administratifs et du service à la clientèle à la Sépaq, ce qui distingue encore plus cette destination, c’est la diversité des expériences qu’on y trouve. Côté pêche, les adeptes peuvent taquiner l’omble de fontaine, le brochet, le touladi et, l’incontournable de la réserve, le doré jaune. « Nous avons eu un été incroyable pour le doré en 2023. Une de nos meilleures saisons! » précise Mireille à propos de son espèce préférée.

Et les mordus de chasse ne seront pas déçus non plus! La réserve faunique Ashuapmushuan est un véritable terrain de jeu pour la chasse au petit et au gros gibier. À l’instar du doré, l’ours noir fait la renommée de l’endroit, tellement que Mireille recommande de ne pas trop hésiter avant de réserver son séjour.

Une autre particularité de la réserve faunique est qu’au printemps, la saison de la chasse à l’ours croise celle de la pêche. On peut donc varier les plaisirs dans une même journée, la commençant avec une partie de pêche au doré et la terminant à la chasse. Plutôt productif! D’ailleurs, rassurez-vous : le taux de succès frôle les 90 % et les belles bêtes de plus de 300 lb ne sont pas rares. Ça donne envie, non?

Réserve faunique Ashuapmushuan
Réserve faunique Ashuapmushuan © Sépaq
Réserve faunique Ashuapmushuan
Réserve faunique Ashuapmushuan © Sépaq

S’initier au petit gibier à Mastigouche

Située à proximité des grands centres urbains, la réserve faunique Mastigouche est l’une des destinations les plus populaires chez la clientèle, mais aussi chez les adeptes de chasse qui travaillent à la Sépaq. Le caractère historique, la beauté et la diversité du site en font un lieu tout indiqué pour vivre (ou revivre) un séjour de chasse au petit gibier. 

Selon Nathalie , responsable du service à la clientèle de la réserve, la magie de Mastigouche nous apparaît dès l’arrivée : « dès qu’on met les pieds sur le territoire, on sent vraiment toute son histoire ». Et pour cause! Pendant des années, les terres appartenaient à des clubs privés comme le Mastigouche, le Saint-Bernard et le Commodore. Leur héritage est encore présent, par exemple, sur la berge du magnifique lac Shawinigan, où se dressent depuis un siècle plusieurs grands chalets en bois rond. Fleurons de la réserve faunique, ces derniers sont offerts en forfait chasse ainsi qu’en forfait villégiature. Pratique pour les groupes aux préférences variées!

« Alors que certains partiront chasser le petit gibier en VTT, en voiture ou à pied, d’autres choisiront les activités nautiques, la randonnée pédestre ou l’observation de la faune », fait remarquer Nathalie. La variété de l’offre est très appréciée, entre autres par les gens qui souhaitent s’initier à la chasse au petit gibier. Avec une vaste sélection d’activités, ils peuvent facilement trouver un équilibre entre la traque et les autres attraits de la destination. 

Ce n’est pas tout! Entre collègues de la Sépaq, on dit souvent que la réserve faunique Mastigouche porte chance aux nouveaux adeptes… serait-ce « l’effet Nathalie »? Après tout, avec un taux de récolte de 100 % pour une quinzaine d’initiés et initiées, difficile d’en douter.

« Même si tout porte à croire qu’on va revenir bredouilles, quelqu’un dans le groupe sort toujours du lot. Un ninja du tir ou un Rambo de la chasse finit par récolter! C’est drôle à dire, mais l’initiation à la chasse permet parfois de se découvrir une nature inattendue. Et comme ça, sans que personne ne l’anticipe, on vient de créer une nouvelle passion », s’enthousiasme Nathalie.

Réserve faunique Mastigouche
Réserve faunique Mastigouche Steve Deschênes | © Sépaq
Réserve faunique Mastigouche
Réserve faunique Mastigouche © Sépaq

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