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Recherche scientifique
Les grandes orientations de recherche au parc national d'Anticosti
Bien connaître les parcs pour mieux les conserver est le fondement qui justifie tous les efforts investis en inventaires, en suivis et en recherches scientifiques.
Au parc national d'Anticosti, les efforts de recherches sont orientés sur les suivis de la faune terrestre (population de cerf de Virginie), aviaire (nidification des pygargues), amphibienne et sur les espèces végétales susceptibles d'être désignées menacées ou vulnérables (arnica lonchophylle, aster d'Anticosti). Nous effectuons aussi quelques suivis à l'interne sur certaines espèces comme, par exemple, sur les sites de fraie utilisés par le capelan. De plus, d'autres recherches sont effectuées sur les différents phénomènes géologiques et géomorphologiques.
En savoir plus sur la recherche scientifique dans le réseau des parcs nationaux du Québec
Saviez-vous que...
Le pygargue à tête blanche, un oiseau majestueux
L’île d’Anticosti est reconnue comme étant l’un des endroits où l’on retrouve l’une des plus forte concentration de sites de nidification du pygargue à tête blanche au Québec. Il est donc logique que ce dernier se retrouve aussi dans les limites du parc national d’Anticosti.
Photo d'un nid de pygargue
Le territoire du parc offre un habitat et des conditions idéales pour la nidification de cette espèce. Très sensible aux changements de son environnement, le pygargue à tête blanche recherche un endroit tranquille pour y construire son nid.
Afin de connaître l’évolution de la population du pygargue à tête blanche dans le parc, un suivi annuel est effectué afin de savoir si les nids sont utilisés et s’il y a présence de pygargues juvéniles.
Les données recueillies nous permettent ainsi d’évaluer le succès reproductif de la population de pygargue à tête blanche.