Parc national des Hautes‑Gorges-
de-la-Rivière‑Malbaie

Fermeture saisonnière du sentier de l'Acropole-des-Draveurs Détails

Modification de la limite de prise et de possession (omble de fontaine) et remise à l'eau obligatoire (omble chevalier)

Notez que le ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs du Québec (MELCCFP) abaisse la limite de prise et de possession de 15 à 10 ombles de fontaine pour les activités de pêche. Cette mesure s'applique dès la saison 2024 et vise à protéger les populations d’omble de fontaine. En savoir plus

Recherche scientifique

Les grandes orientations de recherche au parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie

Bien connaître les parcs pour mieux les conserver est le fondement qui justifie tous les efforts investis en inventaires, en suivis et en recherches scientifiques.  Au  parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie, la présence de l'aigle royal suscite beaucoup d'intérêt. À la suite des efforts concertés de M. Pierre Fradette, biologiste au Regroupement Québec Oiseaux, du ministère des Ressources naturelles et de l'équipe du parc, il nous est possible de confirmer que l'aigle royal est présent sur le territoire du parc et qu'il niche sur les hautes parois rocheuses bordant la rivière Malbaie. Dans le futur, nous travaillerons à vérifier si le principal intéressé fréquente toujours le territoire et s'il s'y reproduit.

L'équipe du parc travaille également à suivre l'évolution du processus d'érosion des berges qui pourrait être occasionné par le passage répété du bateau-mouche sur les berges de la rivière Malbaie. Nous tentons de mesurer l'importance du phénomène d'érosion et de le comparer à l'impact des fortes pluies saisonnières qui perturbent, elles aussi, l'état des berges.

En savoir plus sur la recherche scientifique dans le réseau des parcs nationaux du Québec

Saviez-vous que...

À l’écoute de la grive de bicknell

La grive de bicknell est une espèce désignée vulnérable. Elle niche en altitude, là où les arbres sont rabougris et serrés les uns contre les autres. Sa présence a été confirmée au sommet de l’Acropole-des-Draveurs.

Grive de bicknell
Grive de bicknell.
Crédit photo : Yves Aubry, Service Canadien de la Faune

La présence de l’espèce confirme une fois de plus l’importance de la mission de conservation de ce territoire aux habitats diversifiés. Son suivi est réalisé à partir de stations d’écoute localisées dans le sentier de l’Acropole-des-Draveurs. Ouvrez bien les yeux et les oreilles lors de votre prochaine randonnée au sommet de la montagne. Peut-être aurez-vous l’occasion de faire, vous aussi, une observation exceptionnelle!


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